Jean OuelletteJean Ouellettehttps://themetropolitain.ca/articles/author/65fraDU VIN AIGRE DANS DE NOUVELLES OUTRES : DE L’ANTISÉMITISME CLASSIQUE AU NOUVEL ANTISÉMITISMEhttps://themetropolitain.ca/articles/view/1075https://themetropolitain.ca/articles/view/1075Dans sa plus récente formulation, l’antisémitisme contemporain peut se définir soit comme la passion suicidaire de ceux qui organisent le pouvoir politique contre les Juifs soit comme l’obsession mortelle de ceux qui envisagent une autre solution finale, génocidaire, destinée à réduire à néant État sioniste sur lequel ils concentrent leur haine des Juifs et de tout projet auquel ces derniers sont associés. La première formulation est celle de Ruth Wisse, auteur de nombreux essais sur l’antisémitisme classique dit conventionnel. La seconde est celle de l’historien anglo-israélien Robert S. Wistrich, auteur d’une monumentale histoire de l’antisémitisme.  Jean OuelletteMon, 12 Mar 2012 19:00:00 -0400Les réalités propres à Israël (DATE DE PARUTION 10 JUILLET 2008)https://themetropolitain.ca/articles/view/619https://themetropolitain.ca/articles/view/619À vingt-quatre heures d’intervalle, au son lugubre des mêmes sirènes qui annoncent la chute probable d’un missile ennemi, les Israéliens, à onze heures du matin, et dans tout le pays, se mettent au garde-à-vous et observent deux minutes de silence. La première alarme marque  le souvenir des soldats tombés au combat. La seconde alarme sonne la fin du deuil et le début des réjouissances qui accompagneront, cette année, le soixantième anniversaire d’Israël. Sans transition, comme pour souligner comment la mort et la vie se succèdent d’une génération à l’autre. Une semaine plus tôt, la même sirène avait annoncé le rappelle de la Shoah. L’âme de toute une nation s’exprime dans ce rituel qui interrompt, l’espace d’un moment, le bourdonnement de la vie au quotidien...Jean OuelletteThu, 18 Jun 2009 06:00:00 -0400Les réalités propres à Israëlhttps://themetropolitain.ca/articles/view/282https://themetropolitain.ca/articles/view/282À vingt-quatre heures d’intervalle, au son lugubre des mêmes sirènes qui annoncent la chute probable d’un missile ennemi, les Israéliens, à onze heures du matin, et dans tout le pays, se mettent au garde-à-vous et observent deux minutes de silence. La première alarme marque  le souvenir des soldats tombés au combat.Jean OuelletteThu, 10 Jul 2008 09:00:00 -0400