Par Pierre K. Malouf le 4 novembre 2009
Dans mon dernier Brasse-camarade, Les rues de la honte, je lançais, au terme d’une démonstration qui montrait l’absurdité du projet de changement de nom de la rue Amherst, un appel auquel manquait une phrase essentielle : « Mais je vous en conjure, débarrassez-nous d’abord du boulevard Maurice-Duplessis!» Cet oubli est d’autant plus déplorable que l’entête de l’article annonçait qu’il y serait question du CHEUF. Je reviendrai sur le sujet dans un prochain article ; aujourd’hui je veux régler le cas de Pierre Falardeau.