Ce n’est peut être pas impressionnant si vous le dites rapidement, mais contemplez le nombre pour un instant et il est en effet impressionnant.
Since David and Diana Nicholson held their first salon in February, 1982, we’ve gone through seven Canadian Prime Ministers, five United States Presidents, ten premiers of Quebec, eight periods of negative economic growth, four economic recessions, and two Quebec referendums. The ramifications all of which have been either debated, dissected, discussed or dismissed by those who have kept the flame of friendship burning at their table for 28 years. There have been Wednesday nights on Christmas Eve, even on a Leap Year a Wednesday in 1992. Through it all there has never been an occasion when no one has shown up.
Alors quel genre de personnes ouvrirait leur maison à des étrangers chaque mercredi, semaine après semaine après semaine sans faute? Grégaire? Convivial? Idiosyncratique? Sociable? Toutes ces choses et plus. Diana et David ont gardé vivant l'art de la conversation intéressante et du débat public civilisé. Des hôtes inspirants, ils nous ont diverti, stimulé notre réflexion et en même temps ils ont approfondi nos connaissances, toujours dans le but, comme le proverbe d’Horace (et je ne me réfère pas à Horace Baugh, mais à l'autre Horace), aut delectare aut prodesse est - à plaire ou à éduquer.
And while the always animated evenings are often fueled by copious quanities of wine, disagreements are occasionally vocal and tempers sometimes flare, only once has an unruly loudmouth been evicted.
J'écris ceci en tant que « novice » aux soirées du mercredi. J'ai connu Diana en tant que journaliste à l'expo 67, mais j'ai entendu parler pour la première fois des soirées du mercredi de Mark Harrison, le rédacteur dur et exigeant de la Gazette, qui les a décrites comme un endroit de réunion des plus brillants cerveaux de la ville et un trésor de contacts pour n'importe quel journaliste. Mon introduction est venue après la publication de mon livre sur Sir William Hingston en 2004 quand David m’a invité pour la première fois. Ça s'est avéré que j'étais en retard à la tradition, faisant mon apparition au #1273. C'était en juillet 2006 quand Don Boudria est venu d’Ottawa comme remplacement de dernière minute pour le chef libéral Stéphane Dion, qui avait deux engagements pour cette même soirée.
Boudria n'avait jamais été auparavant, et moi non plus. Mais il a dit exactement ce que j’allais dire.
“If there were more Wednesday Nights here would be more people thinking, and if more people were thinking, it would force people in public office to react to a critical mass of thinking, which could only do good.”
Do more good. Keep the flame alive.
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