Par Beryl Wajsman le 9 juin 2013
Il vient un temps dans les affaires entre gouvernants et gouvernes ou chaque action de l’administration publique aiguise la mefiance du peuple et ou le defaut d’agir suscite sa colere. C’est la ou nous en sommes rendus a Montreal. Tout contrat social entre les citoyens et l’Etat demande une certaine cession par le peuple de sa liberte et de son tresor. Rien de plus. Le contrat social n’exige nullement l’abdication de nos prerogatives. Le contrat social ne permet pas l’imposition au public de fardeaux financiers additionnels sous la forme de penalites en guise de punition pour des services pour lesquels les contribuables paient deja des taxes, mais que leur impose la bureaucratie gemissante de l’administration publique. Montreal besoin un marteau pour un maire!