Par Francis Tourigny le 1 mai 2008
l y a soixante ans, le Refus global marquait le début de ce qu’on pourrait appeler l’engagement social des artistes québécois. La « liberté de penser et de créer », prônée par les signataires du Refus, a été peu à peu remplacée par la « quête d’identité », suivie de sa conséquence dite logique de prétendue « libération nationale ». Ce fantasme a depuis été chanté, filmé, joué, poétisé et proclamé de toutes les manières imaginables par une pléthore d’artistes québécois. ..