Par Pierre K. Malouf le 29 mai 2008
Le français est menacé. Surtout à Montréal. Des ministères communiquent en anglais avec des entreprises ; l’État offre des cours d’anglais gratuits aux immigrants ; des commis de dépanneurs sont incapables de servir leur clientèle dans la langue de Molière ; des provocateurs publient des feuilles de chou bilingues financées en sous-main par des forces occultes ; des étudiants du Sri Lanka parlent tamoul entre eux et fréquentent des Collèges anglophones ; de plus en plus des nôtres veulent apprendre l’anglais, qui heureusement est très mal enseigné dans nos écoles. La situation est dramatique à tous égards, mais le principal danger, c’est le bilinguisme. Pas le nôtre ! Celui des Anglais!..