Par Louise V. Labrecque le 15 mai 2008
« Songe à la douceur, mon amie, ma sœur » ! Oh oui… J’ai la conviction d’avoir été invitée, pour reprendre les mots de Baudelaire, au voyage. J’ai même pensé, amis lecteurs, que vous pouviez lui ressembler, et j’ai aussi souhaité en savoir plus long sur l’auteur… savoir si ce roman lui avait coûté beaucoup d’effort… J’ai dû faire moi-même un énorme effort pour me décider… parce que j’étais obsédée par mes propres interdits...