Par Louise V. Labrecque le 15 janvier 2009
On commence à ouvrir les yeux lentement sur les vrais rapports qui lient l’auteure à Kafka, et cela, dès la première page. Les métamorphoses, c’est bien connu, s’opèrent lentement, de fil en aiguille ; mais pas ici. C’en est presque frustrant, car déjà on sait que le suicide, réellement la mort, est imminente, à la toute fin...