Par Daniel Laprès le 5 février 2009
Dans l’édition du Métropolitain du 27 novembre dernier, je présentais les grandes lignes des tactiques appliquées par la GRC pour contraindre, en laissant planer des menaces graves, des innocents à s’auto-déclarer coupables de crimes violents. La cause de Sebastian Burns et d’Atif Rafay (voir www.rafayburnsappeal.com), par laquelle j’ai pu illustrer ces méthodes policières plus que douteuses, comporte également l’implication potentielle d’un groupe islamiste relativement peu connu, nommé Al Fuqra, une organisation désignée en 1999 comme terroriste dans un rapport du Département d’État américain, intitulé Patterns of Global Terrorism (pour plus d’informations, voir www.alfuqraexposed.com)...