Par Louise V. Labrecque le 6 mai 2009
Dans les vingt nouvelles constituant ce livre, on constate un écrivain qui n’écrit pas pour s’éloigner des gens, mais au contraire pour essayer de s’en rapprocher. Salah Benlabed nous révèle que s’il n’a jamais eu besoin de certitude et que, selon lui, tout est une entreprise à perte, c’est là qu’il veut tout de même travailler, c'est-à-dire dans une entreprise qui est humaine avant d’être littéraire.