Par Julius Grey le 18 juin 2009
Manifestement injuste et exagérée lors de sa promulgation en 1977, la loi 101 a été modifiée et améliorée à tous les niveaux des cours de justice, y compris celles des Nations unies, ainsi que par le législateur. Devant la nécessité inébranlable de protéger et de promouvoir la langue française, et le besoin aussi impérieux de respecter les limites de la démocratie libérale et de préserver une place honorable pour la partie anglaise de notre héritage, cette loi, telle qu’amendée, constitue un compromis raisonnable, même si on peut continuer à discuter de certains détails et de son application...