Par P.A. Sévigny le 11 février 2010
Trois semaines après que la terre s'est soulevée sous leurs pieds,
environ 200 000 personnes sont censées être mortes, écrasées sous des
tonnes de béton émietté. Port-au-Prince est en ruines et les survivants
fouillent les décombres pour de l'eau et un peu de nourriture. « Les
damnés de la terre » de Frantz Fanon a pris une nouvelle signification
alors que les images numériques de la catastrophe haïtienne
commençaient à faire chemin à travers les médias. À son crédit, la
planète a commencé à se rassembler et l'aide était en chemin...