Par Djemila Benhabib le 25 mars 2010
S’il y a une chose qu’a révélée au grand jour cette épisode de la jeune femme égyptienne en burqa qui s’est auto-exclue d’un cours de francisation à cause de son attitude sectaire, c’est la grande incapacité d’un bon nombre de journalistes à décrypter le discours, les symboles ainsi que l’activisme des tenants de l’obscurantisme le plus réactionnaire du monde musulman, à savoir le salafisme.