Par Pierre K. Malouf le 9 septembre 2010
Dans un article publié récemment, j’écrivais que les «baby-boomers» n’avaient pas participé à la Révolution tranquille, que les plus âgés d’entre eux, qui en 1960 venaient à peine de dépasser l’âge de la puberté, n’en avaient été que d’innocents témoins, que les plus jeunes n’étaient pas encore nés. Je vais y aller aujourd’hui d’affirmations plus choquantes encore, ce qui me vaudra, je l’espère, le privilège d’être condamné par ceux qui croient encore à l’existence de ce personnage mythique, le «baby-boomer».