Par Pierre K. Malouf le 27 décembre 2010
La société québécoise souffre de maux qui ne mettent pas sa vie en danger à brève échéance, mais qui lui causent des douleurs chroniques et des handicaps débilitants. Le Québec est un malade qui connaît ses symptômes mais qui n’ose pas nommer sa maladie, qui dispose dans sa pharmacie de tous les remèdes qui pourraient favoriser sa guérison, mais qui refuse de les avaler par crainte des effets secondaires, leur préférant des panacés qui agravent le mal au lieu de le guérir.