Par Beryl Wajsman le 21 avril 2011
En octobre de 2007, j'ai écrit dans « Une question de préjudice » au sujet du projet de loi sur l’identité québécoise de Pauline Marois et du PQ que « Pauline Marois ne semble pas comprendre la fureur provoquée par la proposition du projet de loi sur l’identité québécoise du Parti québécois de limiter l'accès à la citoyenneté, l'ascension à la fonction politique et même le droit de grief devan tl'Assemblée nationale à moins que les nouveaux arrivants au Québec aient une connaissance « adéquate» du français. Essayons d’apporter une clarté à sa compréhension. Mme Marois, la fureur surgit parce que c'est une question de préjudice! C’est outrageux dans une société démocratique. »