By Louise V. Labrecque on May 28, 2009
En vue de l’écriture de cet essai, Émile Ortenberg semble n’avoir eu pour seule ambition que de vivre un message de lumière. On constate à sa lecture que son propos se résume à merveille par cette seule idée, car c’est bel et bien dans cette optique que l’auteur rend compte de la lucidité, de l’amour et du bonheur que comporte la musique mozartienne, une musique à laquelle, d’ailleurs, de plus en plus de mélomanes accordent un statut tout à fait spécial...