Par Beryl Wajsman le 13 mars 2013
Les gens devraient lire le projet de loi et comprendre que le mal est possible ici. Il n’est pas question de langue dans ce projet de loi. Il est question d’une tentative vénale par un gouvernement qui a dû reculer sur presque toutes ses promesses de tenir la ligne de partie de sespurs et durs grâce à une politique de diabolisation, d’invalidation et d’interposition.