Par Bernard Amyot le 14 avril 2013
Depuis plus d’années dont je me souvienne, je dénonce l’ambiguïté sémantique imposée par les leaders indépendantistes québécois qui insistent et persistent, sciemment, à n’utiliser que le mot « souveraineté » lorsqu’ils réfèrent à leur projet de faire sécession du Canada.
Cette volonté incessante d’occulter la perspective d’une rupture a de tout temps été utilisée par les séparatistes québécois en vue de leurrer leurs concitoyens qui, sondage après sondage depuis près de 40 ans, refusent dans une large proportion d’adhérer à cette option lorsque la question leur est clairement posée.