Par Louise V. Labrecque le 1 mai 2008
La machine se nourrit de sons. Elle démarre dans la ville, s’emballe dans l’excitation des sens, révèle des algorithmes étranges, urbains, des mystères inquiétants de faune bigarrée. La machine est au cœur du schéma narratif de ce roman de Michel Vézina, La machine à orgueil. En elle, nous apercevons le vide, le manque, le vertige, la profondeur du trou noir...