Par Alidor Aucoin le 4 septembre 2008
Dans la plus récente pièce de Michel Tremblay, Le Paradis à la fin de vos jours, présentée au Théâtre du Rideau Vert jusqu’au 6 septembre, le paradis est loin d’être ce à quoi on pourrait s’attendre. Comme le dit l’auteur, on n’y voit pas grand-chose (en fait, on voit rien pantoute, dit-il), le bon Dieu est toujours aussi occupé et inaccessible ici qu’il ne l’est pour ceux qui le prient sur Terre, et le fait de retrouver ceux que l’on aime n’est pas aussi rassurant qu’on voudrait bien le croire...