Par René Girard le 7 janvier 2010
Dans les sphères rocambolesques du nationalisme québécois, il m’arrive parfois, au hasard de mes lectures, de tomber sur un article dont le titre accrocheur m’invite à lire plus avant. Parfois, c’est un auteur particulier qui m’attire, et il est vrai que j’en chéris quelques-uns. Louis Cornellier, dit « le Pieux », est l’un d’eux car je suis toujours certain qu’il ne me décevra pas. En effet, je serais bien déçu s’il fallait qu’un jour ses propos me plaisent, quoique je n’ai aucune crainte à cet égard.